lundi 16 novembre 2009

Comment ne pas s'approprier un mec tel que Jack ? Il vit ici & là. Ailleurs qu'avec lui, toi, vous ou moi. De la terre à l'ongle, la pluie des ondes.



«...mais c'est pas toujours à propos de toi-même »


ON THE ROAD AGAIN



Well, I wake up in the morning
There's frogs inside my socks
Your mama, she's a-hidin'
Inside the icebox
Your daddy walks in wearin'
A Napoleon Bonaparte mask
Then you ask why I don't live here
Honey, do you have to ask ?


Well, I got to pet your monkey
I get a face full of claws
I ask who's in the fireplace
And you tell me Santa Claus
The milkman comes in
He's wearing a derby hat
And you ask why I don't live here
Honey, how come you have to ask me that ?


Well, I asked for something to eat
I'm hungry as a hog
So I get brown rice, seaweed
And a dirty hot dog
I've got a hole
Where my stomach disappeared
Then you ask why I don't live here
Honey, I gotta think you're really weird.


Your grandpa's cane
It turns into a sword
Your grandma prays to pictures
That are pasted on a board
Everything inside my pockets
Your uncle steals
And you ask me why I don't live here
Honey, I can't believe that you're for real.


Well, there's fist fight in the kitchen
They're enough to make me cry
The mailman comes in
Even he's gotta take a side
Even the butler
He's got something to prove
Then you ask me why I don't live here
Honey, how come you don't move ?


LOWELL BLUES





« Qu'est-ce qui va arriver ?
Personne ne le sait.»







2 commentaires:

  1. Lowell blues. Voir cet extrait le soir même où l'on revient de Lowell! Se coucher très tard malgré le voyage. Revoir en fait ce film vu jadis au Festival des Films du Monde un dimanche matin du mois d'août...1984! Après la séance, j'avais eu la chance de parler au réalisateur présent à la projection. Je crois du moins qu'il s'agit bien du même document même si les infos sur You Tube mentionnent 2002…

    Et dire que j'ai cité ce film au moins à trois reprises en cours de discussion avec Roger Brunelle à Lowell. Roger m'a alors appris qu'il y faisait les voix en français! Bref, revenir de Lowell pour alunir en pleine poésie, en pleine magie... Quel est donc ce fil qui nous unit?

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  2. Peut-être celui que l'Art inné fabrique dans le haut-de-plafond de nos petites têtes de plein d'allure depuis celui des Araignées qui tissent le leur sur fond d'E-toile, ou encore celui d'Ariane, des idées, d'une affaire, d'une intrigue, d'un complot, d'un rasoir, électrique, ou à coudre, de soi(e), de l'eau, des jours. Tant que ce sera pas celui qu'il faudra retordre. ;-)

    Roger Brunelle: j'ai vu son nom au générique APRÈS avoir lu votre note, curieux oui, mais disons que le hasard, le nôtre en tout cas, fait encore bien les choses.;-)

    Dieu que Jack est beau sur cette photo, vraiment beau.

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