Au ras de la nuit, le voleur de regards te scrute le fond des yeux. Tu sors tes plombs pour lui faire peur mais il reste là. Il te fixe. Il te dit que c'est toi qui es à sa place. Bon joueur, il te la laisse. Il part tu ne sais pas où. Tu sais qu'il reviendra demain.
Voir ceci pour un regard inouï sur ces Êtres Étranges mais non Étrangers: http://www.cbc.ca/documentaries/natureofthings/2011/raccoonnation/.
RépondreSupprimerSimon
Merci Simon. Je vais "yeuter" ça avec beaucoup d'intérêt. Je devrais peut-être faire suivre le lien à mon voisin, lui qui ne peut les blairer. Mais c'est en anglais. ;-)
RépondreSupprimerMon voisin, qui ne peut les blairer, l'a finalement abattu. Il l'avait juste blessé l'autre soir, à un oeil. Mais il m'a juré qu'il ne l'a pas fait souffrir...cette fois. Je suis moi-même abattue. ;-/
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