mercredi 28 avril 2010
lundi 26 avril 2010
Dans le coeur slave du goaltender, la victoire. Dans celui du peuple, l'espoir. Mais ils ne sont pas encore au bout de leur peine, il en reste 1.....
SERGE LEMOYNE
THE CALF
« Lemoyne a fait sauter les gonds de la porte de la créativité et ses oeuvres subséquentes témoignent de la nécessité d'inscrire sur toiles l'un des éléments les plus populaires de notre identité représenté par les couleurs du chandail des Canadiens de Montréal. »
luoaR yauguD
dimanche 25 avril 2010
samedi 24 avril 2010
La lave des B-52>Le retour en arrière. Le ciel under the volcano. Le rouge aux lèvres de la terre> HIS LAND is everywhere>
UNDER THE VOLCANO B
340
(En mai les herbes seront rouges)
(Et CIELS jouera par ici.......et là)
(Et CIELS jouera par ici.......et là)
vendredi 23 avril 2010
mercredi 21 avril 2010
Les singes sont intelligents (pour des singes). Ils sont inquiets. Ils veulent des réponses. Ils argumentent. Ils font la guerre. Et ils dansent.
lundi 19 avril 2010
dimanche 18 avril 2010
Le nouveau visage d'Arthur. (Avec son flou). Arthur qui résonne depuis son val jusqu'à nos oreilles. Qui bat, éternel, au coeur de son beau dormeur.
« Rimbaud adulte a un visage… Ce n’est ni le jeune poète de 17 ans immortalisé par la photo de Carjat, ni le bagnard fantomatique amaigri, à l’image très floue d’avant sa mort ». Il apparaît avec une intensité presque gênante. C’est le vrai Rimbaud, le personnage dans sa vérité d’homme terrestre, qui fuit l’objectif et tel que personne ne l’a connu, pas même Verlaine »
Jean-Jacques Lefrère, spécialiste de Rimbaud
samedi 17 avril 2010
vendredi 16 avril 2010
Une odeur de miel dans le racoin du ciel. Le goût de l'inéluctable. Le faste des restes de table. De la monnaie de singe pour la souche qui s'effrite.
grévistes chez Dupuis & frères, Montréal, 1952
Victor-Lévy Beaulieu
À l'époque, Dupuis Frères est un symbole pour les Canadiens français, ce qui confère une grande importance au conflit. La majorité des 1 000 grévistes sont des femmes qui reçoivent des salaires modestes. Selon Pierre Vadeboncoeur, l'avocat du syndicat de Dupuis et frères : «Un des éléments déclencheurs (de la crise) est l'arrivée d'un nouvel administrateur Roland Chagnon (...) Le renouveau impliquait le départ de plusieurs employés.» Cet arrêt de travail est marqué par plusieurs incidents, notamment lors des tentatives par la compagnie de relancer ses activités avec des briseurs de grève. C'est d'ailleurs à une de ces occasions que le célèbre boxeur Joe Louis refuse de traverser les lignes de piquetage par respect pour les grévistes. Ces derniers utilisent plusieurs moyens inusités : propagande, intimidation, explosion de bombes puantes, envoi de souris, d'abeilles et de grenouilles dans le magasin. Environ 70 grévistes et sympathisants seront arrêtés par les policiers. Un seul sera emprisonné pour avoir bombardé le maire de Montréal, Camilien Houde, avec des oeufs, lors du défilé de la Saint-Jean-Baptiste. Lorsque le conflit se terminera, le 26 juillet 1952, les syndiqués obtiendront le respect de la formule Rand, des hausses salariales variant entre 4 et 6 $ et la semaine de 40 heures.
À MICHEL CHARTRAND
Cher camarade,
Ce petit mot pour vous dire, tout simplement, que si je peux espérer devenir quelqu'un dans la vie, c'est à vous que je le dois. Peu d'hommes québécois m'ont marqué comme vous l'avez fait. Je me souviens que mon père fermait la radio quand vous y étiez interviewé, tellement il avait peur de l'idée de liberté que vous incarniez si totalement. Je me souviens aussi de la grève au magasin Dupuis & Frères, des abeilles qui y volaient joyeusement grâce à vous, en ce temps où le syndicalisme était un vrai combat, mené par des chefs qui n'avaient pas peur de mettre leurs culottes. Comparé aux moumounes qui dirigent aujourd'hui les mouvements syndicaux, crisse que c'était stimulant de vous entendre et de vous voir agir, sans compromis ni compromissions, pour l'établissement d'un Québec indépendant et socialiste ! Je rêve de vivre au moins jusqu'à 90 ans, comme vous, ne serait-ce que pour écoeurer ce monde que vous avez combattu, celui des poules mouillées, des crosseurs politiques enchef en sous-chef, des arrivistes, des magouilleurs, des défaiseurs de pays, des traîtres à la nation et à la culture québécoise. Merci d'avoir été là et d'y être toujours. Vous êtes un formidable exemple, le seul à m'être aussi essentiel.
Victor-Lévy Beaulieu
Trois-Pistoles
Vendredi le 16 avril 2010
in Carrefour des Lecteurs, Le Soleil
À l'époque, Dupuis Frères est un symbole pour les Canadiens français, ce qui confère une grande importance au conflit. La majorité des 1 000 grévistes sont des femmes qui reçoivent des salaires modestes. Selon Pierre Vadeboncoeur, l'avocat du syndicat de Dupuis et frères : «Un des éléments déclencheurs (de la crise) est l'arrivée d'un nouvel administrateur Roland Chagnon (...) Le renouveau impliquait le départ de plusieurs employés.» Cet arrêt de travail est marqué par plusieurs incidents, notamment lors des tentatives par la compagnie de relancer ses activités avec des briseurs de grève. C'est d'ailleurs à une de ces occasions que le célèbre boxeur Joe Louis refuse de traverser les lignes de piquetage par respect pour les grévistes. Ces derniers utilisent plusieurs moyens inusités : propagande, intimidation, explosion de bombes puantes, envoi de souris, d'abeilles et de grenouilles dans le magasin. Environ 70 grévistes et sympathisants seront arrêtés par les policiers. Un seul sera emprisonné pour avoir bombardé le maire de Montréal, Camilien Houde, avec des oeufs, lors du défilé de la Saint-Jean-Baptiste. Lorsque le conflit se terminera, le 26 juillet 1952, les syndiqués obtiendront le respect de la formule Rand, des hausses salariales variant entre 4 et 6 $ et la semaine de 40 heures.
sources: Université de Sherbrooke, faculté des lettres et sciences humaines
jeudi 15 avril 2010
mercredi 14 avril 2010
Co-mentir entre les murs d'enquêteurs publics. Déplumer un peuple pour remplumer sa vérité. « Nous attendrons le processus de sélection des juges. »
NOUS SAVONS TOUS PERTINEMMENT QUE NOUS SOMMES GOUVERNÉS PAR UNE ADMINISTRATION QUI NOUS MENT EFFRONTÉMENT. NOUS SOMMES APPAREMMENT COMME CES PARENTS LIBÉRAUX QUI ACCEPTENT VOLONTIERS LES AFFABULATIONS DE LEUR ENFANT PRÉFÉRÉ. NOUS VOULONS CROIRE QUE LA VIE NE VA PAS SANS UNE CERTAINE VILENIE.
Robert McLiam Wilson
LES DÉPOSSÉDÉS, éditions Points
p. 235
samedi 10 avril 2010
Le grand écart de conduite d'un peuple en marche vers l'amour, celui d'avoir oublié ses clefs dans le char. Les mains dans les poches, he's waiting...
vendredi 9 avril 2010
Reset sun above your head. Put your arms in our stoves. Cook the quick. Drink to that bloody world. Squeeze the springtime against us.
POTO
336
«J'AIME BIEN L'IDÉE DE L'ÉPHÉMÈRE,
L'IDÉE QU'ON SE DISE CHANCEUX
D'AVOIR VU UN SPECTACLE, PARCE
QU'IL NE SERA PLUS LÀ DEMAIN. »
Robert Lepage
9 avril 2010
Le Soleil
mercredi 7 avril 2010
dimanche 4 avril 2010
Ô corps-prépuces des repentis: prenez pitié d'EUX, petits anges déviergés par votre vile volonté et ne nous soumettez plus à vos tentations.
samedi 3 avril 2010
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