vendredi 20 novembre 2009

Au risque de décevoir, je prends la plume. Je décrie les cent paroles du sang qui glow des yeux peints. La lumière, meurtre du soir, sombre. Éclaire.

LA CRITIQUEUSE DU SOLEIL
300


http://www.youtube.com/watch?v=GTicV9bJUd4


Le langage exploréen de Claude Gauvreau, un langage en mutation. Le Théâtre Péril de Christian Lapointe, une impression de décalage, une poésie du comportement. Des heures et des heures de passion, la combustion des spontanés, le feu des bouches, le carburant des effacés, l'empreinte des eaux, traces...REGARDS sur les parkings vides, saignée de spleens---the things we left behind---changements de vitesse---chaînes de lettres (mortes)---caps de roues envolés---Terroriste des Masqués---sucre d'orge des courts week-end mérités. L'essence des repos. Les croix en lui, le fiel en moi. Entré mort, sorti vivant. Revenu-parti-évanoui-comateux. Un claquement de porte. Un air de vieux. Un terrain visqueux de vagues salées dans les yeux du rivage enseveli. Du camping sauvage dans les cieux sans bleus. Un long pèlerinage de mots-sons. L'âme du GÔvrÔ dans le corps des cristaux.

elquidam



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