J'ai adoré découvrir ce Beirut qui m'était inconnu. Merci! Un passage en particulier du premier clip dans l'appartement me renvoie au tapochage excité de mon enfance par lequel j'ai souventes fois fait endurer mes intenses séances de percussion qui sur le rebord du poêle électrique, qui sur le dos du canard, le comptoir ou bien encore sur le collet d'un chaudron qui tinte clair... Jamais personne ne m'a sommé d'arrêter!
Ce Beirut se produira le 11 juillet prochain au Metropolis, mais vous serez peut-être entrain de causer avec un certain MouawaB. ;-)
Des orchestres de chaudrons, oui, moi aussi, et pas juste durant mon enfance, j'ai encore un certain enregistrement " réalisé " en 1978 dans un certain 1509, penthouse d'époque. C'était 11 ans après l'année de l'Expo, nous vivions au 15 ème étage, presque dans les nuages, c'était le party quotidien dans ce temps-là, tout était high mais pas toujours au beau fix. On sortait les casseroles, tablas de fortune, on essayait tant bien que mal de faire de la musique. Les mix musicaux de l'époque: du Zappa au disco en passant par le " québécois " et le progessif européen, quand c'était pas par le punk et le new wave, ou des groupes plus ou moins marginaux, comme Beirut, ou les bands de gros rock américain, le folk, le jazz fusion etc...Aucune espèce de ségrégation dans " notre " musique, on les aimait toutes, enfin presque.
Les souvenirs indélébiles de cette jeunesse qui ne souhaite pas vraiment trépasser: souvent les plus inspirateurs, les plus exclusifs. Ravie que Beirut vous ait ramener une fois de plus dans cette enfance...qui n'en finit plus de vous grandir.
Encore aujourd'hui, lorsque je cuisine en quantité industrielle, ma grosse chaudronne de stainless aime bien se faire " raisonner " la caisse.
J'ai adoré découvrir ce Beirut qui m'était inconnu. Merci! Un passage en particulier du premier clip dans l'appartement me renvoie au tapochage excité de mon enfance par lequel j'ai souventes fois fait endurer mes intenses séances de percussion qui sur le rebord du poêle électrique, qui sur le dos du canard, le comptoir ou bien encore sur le collet d'un chaudron qui tinte clair... Jamais personne ne m'a sommé d'arrêter!
RépondreSupprimerCe Beirut se produira le 11 juillet prochain au Metropolis, mais vous serez peut-être entrain de causer avec un certain MouawaB. ;-)
RépondreSupprimerDes orchestres de chaudrons, oui, moi aussi, et pas juste durant mon enfance, j'ai encore un certain enregistrement " réalisé " en 1978 dans un certain 1509, penthouse d'époque. C'était 11 ans après l'année de l'Expo, nous vivions au 15 ème étage, presque dans les nuages, c'était le party quotidien dans ce temps-là, tout était high mais pas toujours au beau fix. On sortait les casseroles, tablas de fortune, on essayait tant bien que mal de faire de la musique. Les mix musicaux de l'époque: du Zappa au disco en passant par le " québécois " et le progessif européen, quand c'était pas par le punk et le new wave, ou des groupes plus ou moins marginaux, comme Beirut, ou les bands de gros rock américain, le folk, le jazz fusion etc...Aucune espèce de ségrégation dans " notre " musique, on les aimait toutes, enfin presque.
Les souvenirs indélébiles de cette jeunesse qui ne souhaite pas vraiment trépasser: souvent les plus inspirateurs, les plus exclusifs. Ravie que Beirut vous ait ramener une fois de plus dans cette enfance...qui n'en finit plus de vous grandir.
Encore aujourd'hui, lorsque je cuisine en quantité industrielle, ma grosse chaudronne de stainless aime bien se faire " raisonner " la caisse.