dimanche 20 septembre 2009

Fraîcheur des absences temporaires. Deuil du prochain Blanc qui s'amène. Mais avant, le rouge et or dans le bleu de tes yeux, mon père.

MORT IL
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Parce qu'aujourd'hui c'est le 20 septembre, et comme il y a longtemps que je t'aime, je t'offre ces quelques notes de nature humaine. Pour toi qui construisit le petit pont au-dessus de la crique, pour toi qui m'a légué le don de parole, je t'offre ces quelques mots de rien. À toi, mon père, qui m'a donné toute sa musique. Et qui a dit que Miles tournait toujours le dos à son public ? ;-)


À +

Il faudrait toujours être à l'endroit où les mots naissent, et ce matin, nous y sommes.

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